Bonjour a tous. Voici ma fan fiction, son titre le concours qui changea ma vie. Je tien a remercier tout d’abord rose-alice pour sa généreuse aide. Merci rose-alice, pour tes corrections, tes idées quand j’ai des blancs, pour m’écrire mes chapitres quand je suis vidé d’idées et pour avoir accepter de coécrire avec moi pour les futurs chapitre. Alor cher lecteur dite moi ce que vous en penser. Critique bonne ou mauvaise je les prends en considération car elle aide à évoluer. Je ne peux plaire à tout le monde mais j’espère malgré tout que vous aimerez
CHAPITRE 1
Non je ne rêvais pas . On venait réellement de m’annoncer que j’avais gagner le concours: passer un après-midi avec Robert Pattinson. Je ne le réalise toujours pas après 2 semaines . Pourtant, je devrais car en 2 semaine ma vie a réellement changer . Je suis entrée dans le monde que je redoutais le plus: celui de la célébrité . Je vais vous raconter .
Après avoir gagner le concours, je flippais grave, me demandant où j’irais dîner avec lui, quoi faire après, comment m’habiller... Ma mère ne me supportait plus et me traitait de dingue, ma best aussi d’ailleurs . Tout cela m’était égale, j’allais avoir la chance de le rencontrer, le toucher, pouvoir savoir peut-être qui se cache derrière cet homme plein de mystère.
Il ne me restait que 2 jour avant le jour J . J’avais déjà choisi ma tenue qui était assez confortable, c’était d’ailleurs ma tenue préférée: jean un peu trop grand comme à l’habitude , mes converses et mon éternel chandail rose. Vous pensez peut-être que j’aurais pu mettre plus d’effort pour trouver une tenue mieux que ça, mais pourquoi je me montrerais autre que celle que je suis vraiment?
Finalement le grand jour arriva . Je ne vous raconte pas le stresse que j’ai ressenti à ce moment là . J’avais décidé que le dîner ce passerait chez Amelio la petite pizzeria que mon grand père adorait tant et qu'après ça on passerait le reste de l’après-midi a traîner dans la limousine dans les petites rues de Montréal.
J’étais dehors devant chez moi a attendre sa limousine. Je regardais sans cesse ma montre, et là, le voilà, je vis la limousine qui arrivait du coin de la rue. Je n'arrêtais pas de me répéter dans ma tête: non, ne saute pas sur place, ne cri pas , ne deviens pas hystérique comme les mouettes devant McDo. Sans m’en rendre compte j'étais déjà assise dans la limousine et il me parlait.
-Bonjour, vous êtes sans doute Sunny, la gagnante du concours. Je suis Robert Pattinson.
Quoi répondre ...oh mon dieu pourquoi je me parle a moi même au lieu de lui répondre il dois me prendre pour une dingue .
- Euh, excuse-moi j’étais dans la lune. Bonjour, toi c’est Robert ... Ouais, je le sais, tu est partout sur les revues .
Stupide, conne, j’aurais pu trouver mieux. Il faut que je me calme là, l’hystérie va arriver sinon.
-Alors, dit moi, tu fais quoi de bon dans la vie? Je veux dire appart tourner des films et te faire pourchasser par les paparazzis.
- Eh bien, j’aime assez jouer de la guitare, me dit t-il.
Le silence s’installait, je trouvais ça vraiment gênant, je n’arrêtais pas de le fixer, il fallait que j’arrête, il allait me trouver étrange . Super je voyais le coin où le resto se trouvait approcher.
-Tiens, on arrive, ça a été vite , lui dis-je avec un stupide sourire de beat sur le visage.
-Ouais, je commençais a avoir faim. Tu connais ce resto depuis longtemps? me réponda-t-il.
-Oui, mon grand père m’apportait souvent ici avant sa mort.
Penser a mon grand père me donna l’aire triste sans le vouloir
-Désolé Sunny, je ne voulais pas te faire sentir triste.
-Non, non, ça va, je ne suis pas triste, ça faisait juste longtemps que je n’avais pas penser à lui, c’est tout. Mais profitons du repas c'est pas tous les jours que j’aurai la chance de manger avec toi .
Nous nous installions à une table et on commandait un petite pizza . Ce resto avait définitivement encore les meilleures pizza en ville. Durant tout le repas on parlait de tout et de rien, j’avais perdu mon stress et j’avais arrêter de dire des trucs sans rapport qui paraissaient stupides . Mais un chose m’énervait au plus haut point: les stupides paparazzis qui nous épiaient de par les vitres du resto . Non, mais sérieux comment fait-il, lui pour vivre ainsi en sachant qu'on le surveille toujours . Moi ça m’énerve au plus haut point et cela ne fait même pas 1h00 qu’ils sont arrivé . Je décidai de prendre la parole.
-Dis-moi, Rob, ça ne t’énerve pas tous ces kodak et gens qui te suivent partout comme des mouettes chez McDo devant un paquet de frites bien graisseuses?
-En fait, ouais, au début, mais tu sais ça vient avec le métier, et puis on finit par s’y habituer... enfin presque . Mais j’avoue que par moment j’aimerais bien avoir la paix un après midi pourvoir sortir normalement sans eux .
Je me demande vraiment comment il peut s’habituer à ça, bon il faut que j’arrête de penser à eux, sinon ils vont finir par me gâcher la journée . On finit de dîner et on décida de sortir du restaurant pour reprendre la limousine et se promener toute la journée . Arriver devant la limousine et tous ses flashs de kodak, je regardais Rob, il avait l’air vraiment au bout du rouleau de tout ça, alors je décidai d’essayer de changer les plans de la journée.
-Une petite course a pied, ça te dit? Lui dis-je dans le creux de l’oreille pour être sûr que les paparazzis ne nous entendent pas .
-Ouais, ça ferait changement, alors on part quand? Me répondit Rob avec un sourire.
-Maintenant! Criais-je en me mettant à courir.
Oh mon dieu! Je viens de prendre la fuite avec Robert pour éviter les paparazzis, plutôt génial comme début de journée.
- Hey, dis-moi Rob, ça t’arrive souvent de dire oui pour prendre la fuite avec une inconnue?
-Non, seulement aujourd’hui et si on arrêtait quelque temps je commence a être essoufflé de courir .
On s’arrêta devant un parc et on s’assit. Je pense qu'on avait réussi à semer les paparazzis. Je les imaginais planté devant la limousine avec leurs regards stupides en train de se demander qu'est-ce qui ce passait.
Le cellulaire de rob sonna, c’était son agent et d’après leur conversation il n’avait pas l’air content de notre plan. Je pris le cellulaire et le lança dans l’étan. Rob me regardait avec un air questionneur et me dit:
-Qu’est-ce que tu as fait? Je vais me faire tuer!
- Il faut que tu relaxes, Rob, c’est quand la dernière fois que tu as fait de quoi pour toi sans penser à ce que les gens diraient dans les revues?
- Euh.....
- Tu vois, j’ai raison, trop longtemps! Allez, viens, on va au motel qui est juste là, en face.
-Sunny, je ne veux pas te vexer, mais je n’ai pas l’intention de coucher avec toi.
- Ce que tu peux être stupide, je ne veux pas coucher avec toi non plus, mais c’est un des seuls endroits où les paparazzis ne viendront pas te chercher. Parce que je suis sûr qu’ils finiront bientôt par arriver ici et la course à pied, ce n'est pas mon fort . Et puis c’est mon après-midi , c’est moi qui décide .
-Ok, c’est dacord.
Je me dirigeai vers la petite cabine où un monsieur attendait les clients .
- Une chambre s.v.p.
-Pour combien d’heures madame?
- 4h, merci .
Il me donna la clé et je parti rejoindre Rob sur le parking.
-J’ai la clé, chambre numéro 24.
On entra dans la chambre qui, ma foie, était assez eurk, vous savez le genre de motel «lido». Mais au moins, ici, personne ne viendrait nous enmerder. Du moins c’est ce que je pensais . Après moins de 30 minutes les paparazzis nous avaiemt retrouvé. Je décidai de fermer tous les rideaux verrouiller les portes, débrancher le téléphone et partir de la musique pour cacher le bruit de nos paroles. Je m’assis sur le lit en indien et regardai Rob qui lui, était assis à l’autre extrémité du lit. Il pris la parole.
-Alors, toi tu fais ça souvent apporter des vedettes dans des motels bas de gamme?
-Non, pas vraiment, alors si tu as faim il y a un frigo.
-Non j’ai assez manger avec notre pizza .
- Alors arrêtes de stresser et relaxe, les paparazzis ne peuvent rien faire ici .
-C’est vrai, tu as raison.
Le reste de l’après-midi, on le passa a discuter de tout et de rien , à rire jusqu’aux larmes. Puis vins le temps de partir. Rob s’en allait déverrouiller la porte...
-Attends! lui criais-je.
-Pourquoi?
Je lui ébouriffai les cheveux et ébouriffai les mien aussi. Il me regarda alors comme si j’étais une vraie dingue.
-Non mais à quoi tu penses, toi? Rien de pire pour faire jaser les revues, me dit-il.
-Justement, j’ai envi de rire demain en voyant ce que ses machines à scoop vont avoir inventé en disant que telle ou telle personne a fait des déclarations sans même nous avoir parler avant.
- Tu sais que tu es vraiment étrange comme fille?
- Ouais, on me le dit souvent, mais ça fait parti de mon charme! Lui dis-je avec un méga sourire.
Il partit à rire et moi aussi, de plus belle et on sortit dehors . Je vous le jure la tronche des paparazzis, c’était hillarant. Ils prenaient tous des photos et posaient des questions du genre: pourquoi êtes vous dépeigné? Que c’est t-il passé? Moi j’étais cramper de rire. La limousine me ramena chez moi. C’était le moment de lui dire au revoir .
-Au revoir Rob, j’ai été ravie de passer la journée avec toi .
-Tout le plaisir était pour moi. Tu m'as montré que je pouvais encore être une personne normale si je le voulais.
-De rien... Bonne soirée, lui dit-je en l’embrassant sur la joue .
Je sorti de la voiture et la regarda s’éloigner . Arrivée chez moi, ma mère m’avertie que les journaux ne cessait d’appeler . Je lui répondis alors...
-Ils appelleront demain, pour le moment je dois dormir. Ah, et maman, demain au dépanneur achète-moi toutes les revues qui parleront de moi et Rob j’ai envi de rire.
-Et pourquoi donc Sunny? Quelle connerie t'as encore été faire?
-Rien, maman, je te le promets, mais au cas où je t’assure je n’ai pas coucher avec peu importe ce que disent les revues.
-Ouais, si tu le dis. Bonne nuit ma puce.
-Bonne nuit maman.